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Publié le – Mis à jour le
Face aux défis du changement climatique et à l’évolution des attentes citoyennes, la Municipalité réaffirme son engagement en faveur de la végétalisation urbaine. Ce choix stratégique n’est pas seulement une réponse aux enjeux environnementaux, mais aussi un levier essentiel pour préserver et améliorer la qualité de vie de tous les Meudonnaises et Meudonnais.
Innover pour une action plus efficace
À l’image de notre engagement pour une gestion rigoureuse des finances publiques, nous investissons dans des solutions innovantes pour lutter contre les îlots de chaleur. Notre partenariat avec Dassault Systèmes est une véritable innovation, grâce aux jumeaux numériques nous simulons l’impact de la végétalisation sur la température de nos quartiers et nous anticipons les coûts et optimisons les travaux. C’est une approche scientifique unique, qui guide nos décisions, garantit l’efficacité de nos actions et nous permet de gagner un temps précieux dans la réalisation de nos projets.
Des réalisations concrètes
Nous agissons pour préparer la ville aux enjeux du changement climatique :
Un engagement collectif pour un avenir durable
Nous multiplions les initiatives pour une ville plus verte et plus agréable, en étant à l’écoute de vos attentes et en privilégiant la participation citoyenne :
Nous sommes en discussion continue avec l’ONF pour maximiser ses actions en faveurs de la Ville et de notre forêt. Nous avons obtenu l’interdiction des coups rases, un retour aux méthodes de coupes ancestrales par des bucherons professionnels et de nombreuses replantations qui s’étaleront sur l’ensemble de l’année 2025. 650 arbustes ont été plantés dans la forêt en mars 2025 et d’autres replantations sont à venir.
Nous encourageons les initiatives locales et valorisons la nature en ville. La ville de Meudon compte 4 jardins partagés composés d’une centaine parcelles à disposition des habitants qui n’ont pas de jardin.
L’Initiative meudonnaise, « Jardiner ma ville » offre depuis 2017 aux habitants de Grand Paris Seine Ouest (GPSO), la possibilité de jardiner et d’entretenir un bout d’espace public : morceau de trottoir, pieds d’arbres et pieds de murs… Le tout représente à Meudon, 352 m2 d’espaces publics sur 20 sites, dont le jardin collectif de Robert Doisneau.
La ville finance l’initiative citoyenne « Ville comestible » lauréate du Budget participatif 2022. Celle-ci a pour vocation de préserver et d’améliorer la biodiversité à Meudon aussi bien végétale, faunistique, animale qu’alimentaire. Le projet vise à installer des bacs potagers en libre accès, des vergers et des jardins partagés, favorisant ainsi l’autonomie alimentaire et le lien social entre les habitants. Deux bacs ont déjà été installés en 2024, un au sein du Potager du Dauphin ainsi qu’un autre à proximité de l’espace culturel Les Sablons. En tout une dizaine de bacs vont être implantés à travers la ville et permettront aux habitants de cultiver leurs propres fruits et légumes.
La majorité municipale
Ensemble pour Meudon
Mai 2025
À Clamart, le scandale de l’écoquartier du Panorama nous éclaire sur les dérives de nombreux projets immobiliers : la zone révèle des polluants cancérogènes persistants dans le sol, des solvants chlorés, très volatils, près d’un site radioactif.
Celui de Meudon-La-Forêt oublie des principes fondamentaux tels que le développement des transports en commun, ou la limitation de l’imperméabilisation des sols. La conception minéralisée de la place Simone Veil, aux pavés incommodes, brûlante en été, doit déjà être rénovée, et le stationnement gratuit de courte durée pour faire ses courses privilégie toujours la voiture. Cette conception ne répond ni aux besoins des habitants déjà présents, ni à l’urgence écologique, et fait fi des tensions urbaines sur notre territoire.
Le terme d’écoquartier n’est en aucun cas la garantie d’un aménagement urbain écologique, c’est un support de communication de villes en concurrence acharnée pour attirer nouveaux capitaux et populations aisées.
Les futurs projets immobiliers (Colline Rodin, Onera, Bellevue) continueront de légitimer un discours de croissance désormais inadapté, et une vision néolibérale de la ville : grandes opérations immobilières, mimétisme de l’architecture, alors qu’ils devraient être les piliers d’un aménagement urbain global, durable et réfléchi.
Quels seront les principes et les précautions adoptés pour éviter de telles dérives ?
Ensemble, réinventons une ville pour tous, adaptable dans sa conception et ses pratiques, aux enjeux climatiques et sociaux.
Le collectif Meudon Écologie Citoyenne et ses élu·e·s (Renaud Dubois, Bouchra Touba, Louis de Costil, Gabrielle Laprévote) www.meudonecologiecitoyenne.fr
Mai 2025
Dans le bulletin du Comité de sauvegarde des sites de Meudon (CSSM), Michel Riotto pointe la lente artificialisation de la forêt de Meudon, sous l’effet de l’urbanisation et d’une gestion visant à produire du bois. Il suggère que les collectivités territoriales accompagnent l’ONF afin de mettre en avant l’accueil des visiteurs, et de limiter les prélèvements de bois au strict nécessaire à la santé du vivant forestier.
Nous proposons d’engager une réflexion globale sur la fonction sociale, culturelle et récréative de la forêt. Ses bienfaits sur la santé, le bien-être physique et intellectuel doivent être valorisés pour mieux profiter à nos concitoyens de toute génération.
Groupe Meudon pour tous (social-écologie)
denis.marechal@mairie-meudon.fr
Mai 2025
La construction de l’écoquartier de Meudon-la-Forêt a rétabli la capacité d’accueil en maternelle par la Ruche, maintenu une ludothèque et aménagé une crèche, certes bien moins grande que l’ancienne. Mais, pas de centre de loisirs en remplacement de Picasso et pas de nouvelle école élémentaire. Comme les habitants de l’écoquartier ont des enfants, il a fallu ouvrir 3 nouvelles classes à Monnet – Debussy, qui a vu son effectif augmenter de plus de 15% cette année. Cette école à taille humaine, adaptée à l’accueil d’enfants de tous milieux, est devenue trop grosse : il faudrait en ouvrir une autre, dans de nouveaux locaux ou en réaménageant d’anciens, dédiés maintenant à d’autres fonctions. D’autant que les effectifs ayant davantage augmenté dans les petites classes et que les familles des nouveaux forestois s’agrandiront certainement, la situation ne peut que s’aggraver. Il est très important d’assurer une école de qualité aux enfants forestois pour que les synergies sociales s’installent et se maintiennent ensuite. Nous demandons à la municipalité d’agir dans le domaine de ses compétences et de faire pression sur le Rectorat, concernant les moyens humains.
Liste Justice Sociale et Écologique
contact@jse-meudon2020.fr
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Mai 2025